rien a dire, mais disons-le quand meme
dans la serie vous-me-manquez, je peux en taper des pages et des pages...consolons-nous des thes entre copines, des dicuttes a ne rien dire mais qu'est ce que ca fait du bien, consolez-moi de ces petites impros qui faisaient ma vie d'avant et qui ici, jamais ne pointent le bout de leur nez.
alors disons qu'il y a un Piccolo qui pete la forme, malgre une conjoncti-nez-qui-et caca-qui-coulent, malgr'e un nez bouche qui empeche de s'endormir et une enfois ENFIN endormi qui reveille car empeche de respirer. disons qu'il y a un mari qui pete la forme, malgre une sourde envie d'aller se coucher vers 21h, comme moi, tous les soirs.
disons que Rome va bien merci, il pleut, ca les agace, ca mouille les pattes, ca donne envie de sortir en imper de marin avec des bottes en cahoutchouc.
disons qu'on est content de ne pas encore avoir eu d'accident : ca s'entrechoque et ca s'enguirlande en bas de chez nous...ouh ouh ouh. Ca leur prend des heures, de s'expliquer avec les mains, des heures et puis au bout de longtemps, on voit arriver une depanneuse pour remorquer l'epave de monsieur : sa lancia a eu une egratignure...
je me moque car a les voir vivre jour apres jour, je comprends que c'est un peu ce qu'ils attendent : impossible de les prendre totalement au serieux. C'est le spectacle permanent. Mais le souci, le vrai, c'est quand je me prends au jeu. Plus de deuxieme degre aucun et en avant le klaxon et les injures si on ne nous laisse pas passer sur les clous, non mais.
disons qu'on se fait encore prendre pour des touristes quand on commande un cafe : ca les amuse de nofcus faire payer 3euros un petit jus hrfrgfbc de rien du tout. moi pta7sg tgg . vgv gg.
ce furent des interferences piccolesques.
je vous laisse.
brisons la.